ความเป็นมา | |||||||||||||||||||
คณะกรรมการรณรงค์เพื่อภาษาไทย จุฬาลงกรณ์มหาวิทยาลัย ได้ตระหนักในคุณค่าและความสำคัญของภาษาไทย และมีความห่วงใยในปัญหาต่างๆ ที่เกิดขึ้นต่อภาษาไทย และเพื่อกระตุ้นและปลุกจิตสำนึกให้คนไทยทั้งชาติได้ตระหนักถึงคุณค่าและความสำคัญของภาษาไทย ตลอดจนร่วมมือกันทำนุบำรุง ส่งเสริม และอนุรักษ์ภาษาไทยให้คงอยู่คู่ชาติไทยตลอดไป จึงได้เสนอขอให้รัฐบาลประกาศให้วันที่ ๒๙ กรกฎาคม ของทุกปี เป็นวันภาษาไทยแห่งชาติ เช่นเดียวกับวันสำคัญอื่นๆ ที่รัฐบาลได้จัดให้มีมาก่อนแล้ว เช่น “วันวิทยาศาสตร์แห่งชาติ” และ “วันสื่อสารแห่งชาติ” เป็นต้น และคณะรัฐมนตรีได้มีมติเมื่อวันอังคารที่ ๑๓ กรกฎาคม ๒๕๔๒ เห็นชอบให้วันที่ ๒๙ กรกฎาคม ของทุกปีเป็นวันภาษาไทยแห่งชาติ
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วันพฤหัสบดีที่ 28 กรกฎาคม พ.ศ. 2554
“วันภาษาไทยแห่งชาติ”
วันพุธที่ 13 กรกฎาคม พ.ศ. 2554
Fête Nationale Française
Fête nationale depuis 1880, le 14 juillet commémore la prise de la Bastille de 1789, mais aussi un événement moins connu : la fête de la Fédération de 1790.
Le 14 juillet 1789 : la prise de la Bastille
La fête nationale commémore d'abord le 14 juillet 1789, première journée révolutionnaire à portée symbolique. Cet été là, une grande agitation règne à Paris. Face au mécontentement populaire, le roi a réuni les Etats généraux, une assemblée des représentants de la noblesse, du clergé et du tiers-état. Ces derniers demandent une réforme profonde des institutions et, le 9 juillet, se proclament Assemblée nationale constituante. L'initiative inquiète le roi qui fait venir en secret des régiments suisses et allemands à proximité de Versailles. La rumeur court bientôt que les troupes royales se préparent à entrer dans Paris pour arrêter les députés. Le 12 juillet, un orateur harangue la foule qu'il appelle à réagir : c'est Camille Desmoulins, monté sur un tonneau, qui annonce une "Saint Barthélemy des patriotes". Au matin du 14 juillet, des Parisiens en colère vont chercher des armes aux Invalides, puis se dirigent vers la vieille forteresse royale de la Bastille, en quête de poudre. Après une journée de fusillade sanglante, et grâce au ralliement de gardes nationaux, les Parisiens s'en emparent et entament sa démolition. Au final, ils ne libèrent que quelques prisonniers et malfrats sans envergure. Mais cette vieille prison médiévale incarne l'arbitraire de l'Ancien régime. En l'abattant, les Parisiens font tomber un rempart de l'absolutisme. Et cette journée, qui marque le début de la Révolution, restera dans les mémoires comme un jour de liberté. Cependant la fête nationale fait aussi référence à une autre événement moins connu : la fête de la Fédération du 14 juillet 1790.
Le 14 juillet 1790 : fête de la Fédération
Depuis l'été 1789, partout dans les provinces françaises se sont créées des "fédérations" régionales de gardes nationaux. Une réaction à l'affaiblissement du pouvoir central. Afin de contrôler ce mouvement spontané, la Commune de Paris, sous l'impulsion de Lafayette, décide de fonder une grande Fédération nationale regroupant des représentants des fédérations locales et de les réunir à Paris le 14 juillet. La cérémonie est censée célébrer la prise de la Bastille, mais aussi apporter un semblant d'ordre et d'unité dans un pays en crise. Le jour dit, 14 000 soldats fédérés arrivent donc à Paris et défilent sous la bannière de leur département, de la Bastille jusqu'au Champ-de-Mars.
Sur une esplanade aménagée pour l'occasion, une grande messe est célébrée, à la suite de quoi le roi Louis XVI jure de maintenir "la Constitution décidée par l'Assemblée nationale". Les 400 000 Parisiens présents ce jour-là acclament leur souverain : la monarchie n'est donc pas remise en cause. L'aspiration à l'union nationale triomphe et la cérémonie se transforme en grande fête populaire. Mais la réconciliation nationale sera de courte durée. Deux ans plus tard, le roi est arrêté et condamné à mort.
1880 : le 14 juillet devient fête nationale
Pendant près d'un siècle, la commémoration du 14 juillet est abandonnée. Elle réapparaît en 1880, sous la IIIe République. Le régime, pour se consolider, cherche à construire un nouvel imaginaire national, autour de symboles républicains. C'est ainsi que la Marseillaise devient hymne officiel, et le 14 juillet fête nationale. Mais la proposition qui émane du député de la Seine Benjamin Raspail n'est pas accueillie unanimement par l'Assemblée. Certains députés mettent en cause la violence du 14 juillet 1789. Et c'est finalement autour du 14 juillet 1790 que se fait le consensus.
En 1880, pour la première fête nationale, la République fait les choses en grand. Le ministre de l'Intérieur prescrit aux préfets de veiller à ce que cette journée "soit célébrée avec autant d'éclat que le comportent les ressources locales". Un défilé militaire est organisé sur l'hippodrome de Longchamp devant 300 000 spectateurs, en présence du Président Jules Grévy. Il s'agit de montrer le redressement de l'armée française après la défaite contre la Prusse en 1870. Ce défilé militaire, toujours en vigueur, s'inspire aussi du défilé des gardes fédérés de 1790.
Cette année là, on inaugure également le monument surmonté de la statue de la place de la République, et partout sont donnés concerts et feux d'artifices. "La colonne de Juillet" qui surplombe la place de la Bastille, elle, ne se réfère pas au 14 juillet 1789. Elle porte le nom des victimes des journées révolutionnaire de juillet 1830, les "Trois glorieuses".
De 1880 à nos jours
- En 1886 : un femme, cantinière du 131e régiment d'infanterie, défile pour la première fois.
- En 1915 : le défilé militaire se déplace du Champs-de-Mars aux Champs-Elysées.
- En 1919 : c'est le défilé de la victoire qui réunit, sur les Champs-Elysées, les forces des pays alliés.
- En 1936 : après le défilé militaire, un million de personne défile à l'appel des organisations syndicales.
- De 1939 à 1945 : dans le Paris occupé, la journée n'est pas célébrée. Le 14 juillet 1940, à Londres, le général de Gaulle réitère ses appels à la résistance. En juillet 1945, on célèbre la Libération partout en France.
วันอังคารที่ 12 กรกฎาคม พ.ศ. 2554
Jean-Jacques Rousseau
Jean-Jacques Rousseau, né le 28 juin 1712 à Genève et mort le 2 juillet 1778 à Ermenonville, est un écrivain, philosophe et musicien genevois de langue française.
Il est l'un des plus illustres philosophes du siècle des Lumières et l'une des influences intellectuelles connues de la Révolution française. Tous se réclament de lui. Les révolutionnaires, d'un extrême à l'autre, prétendent « ne marcher que le Contrat social à la main ». Mais paradoxalement, des théoriciens de la contre-révolution (Joseph de Maistre, Louis-Gabriel de Bonald) se réclament eux aussi de Rousseau. Il était considéré par Arthur Schopenhauer comme le « plus grand des moralistes modernes ». Schopenhauer disait : « Ma théorie a pour elle l'autorité du plus grand des moralistes modernes : car tel est assurément le rang qui revient à J.-J. Rousseau, à celui qui a connu si à fond le cœur humain, à celui qui puisa sa sagesse, non dans des livres, mais dans la vie ; qui produisit sa doctrine non pour la Chaire, mais pour l'humanité ; à cet ennemi des préjugés, à ce nourrisson de la nature, qui tient de sa mère le don de moraliser sans ennuyer, parce qu'il possède la vérité, et qu'il émeut les cœurs ». Ses travaux ont influencé grandement l'esprit révolutionnaire français. Il est particulièrement célèbre pour ses travaux sur l'homme, la société ainsi que sur l'éducation. La philosophie politique de Rousseau se situe dans la perspective dite contractualiste des philosophes britanniques des XVII et XVIII siècles, et son fameux Discours sur l'inégalité se conçoit aisément dans la perspective d'un dialogue avec l'œuvre de Thomas Hobbes. Rousseau était d'une grande sensibilité. David Hume disait de lui : « He has only felt during the whole course of his life, and in this respect his sensibility rises to a pitch beyond what I have seen any example of ; but it still gives him a more acute feeling of pain than of pleasure. He is like a man who was stripped not only of his clothes, but of his skin, and turned out in this situation to combat with the rude and boisterous elements ». Bertrand Russell d'ajouter : « This is the kindest summary of his character that is in any degree compatible with truth
Les débuts philosophiques
- Paris, en 1742 et 1743, il essaie d'exploiter l'invention d'un système de notation musicale en publiant successivement le Projet concernant de nouveaux signes pour la musique et la Dissertation sur la musique moderne. Il se lie avec Denis Diderot et M d'Épinay.
- en 1743 et 1744, Rousseau est secrétaire du comte de Montaigu, ambassadeur de France à Venise.
- En 1745, à Paris, il rencontre Thérèse Levasseur, modeste servante d'auberge, avec qui il se met en ménage. Les cinq enfants qui naissent successivement seront confiés aux Enfants-Trouvés, l'assistance publique de l'époque, décision qui lui sera reprochée plus tard (il y répondra par son grand ouvrage Les Confessions).
- En 1747, son père, Isaac Rousseau meurt.
- En 1749, Jean-Jacques écrit des articles sur la musique pour l'Encyclopédie.
- En 1750, il participe à un concours proposé par l'Académie de Dijon : son Discours sur les sciences et les arts (dit Premier Discours) qui soutient que le progrès est synonyme de corruption, obtient le premier prix. Ce discours suscite diverses réactions, dont celle de Charles Borde.
วันจันทร์ที่ 11 กรกฎาคม พ.ศ. 2554
Cathédrale Notre Dame de Paris
La construction s’étant étendue sur de nombreuses décennies (deux siècles) sur l’emplacement d’anciens temples païens, le style n’est pas d’une uniformité totale ; elle possède ainsi des caractères du gothique primitif (voûtes sexpartites de la nef) et du gothique rayonnant : on remarque particulièrement l’audace des arcs-boutants du chœur. Sa façade occidentale est un chef-d’œuvre d’équilibre architectural.
Après la tourmente révolutionnaire, la cathédrale a subi de 1844 à 1864 une restauration importante et parfois controversée dirigée par l’architecte Viollet-le-Duc qui y a incorporé des éléments et des motifs que le monument légué par le Moyen Âgen’avait jamais possédés.
Les deux rosaces qui ornent chacun des bras du transept, sont parmi les plus grandes d’Europe et mesurent chacune 13 mètres de diamètre.
Une plaque de bronze incrustée dans le sol de son parvis sert de point zéro de toutes les distances routières calculées à partir de Paris. D’autre part, la cathédrale constitue pour l’IGN un site NTF d’ordre 5sa flèche étant un point géodésique, c’est-à-dire qu’on connaît avec précision ses coordonnées géographiques, (600 985,75 m, 128 058,65 m) en Lambert I, et son altitude, 126,7 m en NGF - IGN69.
On pense qu’au début de l’ère chrétienne il existait à l’emplacement de Notre-Dame, un temple païen, remplacé ultérieurement par une grande basilique chrétienne sans doute assez semblable aux basiliques antiques. Nous ne savons pas si cet édifice, dédié à saint Étienne, a été élevé au IVe siècle et remanié par la suite ou s'il date du VIe siècle avec des éléments plus anciens réemployés (hypothèse de la cathédrale de Childebert I, fils de Clovis et de Clotilde).